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Covid-19 : Les vaccins et rappels de moins en moins efficaces et de plus en plus nocifs

De plus en plus d’études scientifiques attestent d’une augmentation des effets indésirables et de décès parmi les personnes vaccinées contre la Covid-19. Pourtant, en France comme ailleurs, on s’oriente vers de nombreux rappels vaccinaux.

Vaccination obligatoire dans de nombreux pays (Unlimphotos)
Vaccination obligatoire dans de nombreux pays (Unlimphotos)

Toutes les études convergent : les affections cardiovasculaires directement liées aux effets secondaires des vaccins à ARNm sont en forte progression.
« Une proportion croissante de décès liés à la COVID-19 surviennent parmi les vaccinés, selon une nouvelle analyse des données fédérales, explique ABC News dans un article du 11 mai. En août 2021, environ 18,9 % des décès liés à la COVID-19 sont survenus parmi les personnes vaccinées. Six mois plus tard, en février 2022, ce pourcentage proportionnel de décès était passé à plus de 40 %. Comparativement, en septembre 2021, seulement 1,1 % des décès liés à la COVID-19 sont survenus chez les Américains qui avaient été complètement vaccinés et dopés avec leur première dose. En février 2022, ce pourcentage était passé à environ 25 %. »

Une étude israélienne

En Israël qui se flatte d’être le pays le plus vacciné au monde, une étude publiée dans Nature révèle « une augmentation des événements cardiovasculaires d’urgence dans la population des moins de 40 ans en Israël pendant le déploiement du vaccin et la troisième vague d’infection au SARS-CoV-2. »
L’article précise : « Le nombre d’appels d’urgence hebdomadaires était significativement associé aux taux de 1ère et 2ᵉ doses de vaccin administrées à ce groupe d’âge [moins de 40 ans], mais n’était pas associé aux taux d’infection par le SARS-CoV-2. Bien qu’ils n’établissent pas de relation de cause à effet, ces résultats soulèvent des inquiétudes quant aux effets secondaires cardiovasculaires graves non détectés induits par les vaccins et soulignent la relation de cause à effet déjà établie entre les vaccins et la myocardite, une cause fréquente de détresse respiratoire ou d’arrêt cardiaque inattendu chez les jeunes individus. »

Inquiétude au Royaume-Uni

Même constat au Royaume-Uni. « Les données officielles du gouvernement britannique suggèrent fortement que la population vaccinée contre le SARS-CoV-2 développe une nouvelle forme de syndrome d’immunodéficience acquise induite par le vaccin anti-Covid-19. Ce qui est inquiétant, c’est la chute de l’efficacité réelle du vaccin dans tous les groupes d’âge, mais surtout dans le groupe des 40-49 ans, qui est passé d’une efficacité réelle de moins 36 % à moins 109 %.
Le fait que l’efficacité réelle des vaccins ait dépassé la barrière de moins 100 % suggère que non seulement les vaccins échouaient, mais qu’ils endommagent aussi le système immunitaire des bénéficiaires. »
Dans ces conditions, on peut s’étonner que les autorités sanitaires de nombreux pays, dont la France, continuent de vouloir vacciner encore et toujours la population, y compris les enfants de moins de 6 ans, dont on sait qu’ils sont quasiment tous épargnés par la maladie. Les médecins sont peu nombreux à s’exprimer à ce sujet. La saine controverse scientifique n’existe pas.
Pourquoi cet aveuglement ? Pourquoi ce silence coupable ?

Jean-Marc Sabatier : « Les conséquences pourraient être catastrophiques à plus ou moins long terme »

Jean-Marc Sabatier (DR)
Jean-Marc Sabatier (DR)

Ces chiffres et ces études ne surprennent pas Jean-Marc Sabatier* qui, depuis dix-huit mois, s’interroge ici même sur les effets délétères spécifiques de ces vaccins anti-Covid-19, en tout cas pour certaines catégories de patients. Entretien (Jean-Marc Sabatier s’exprime ici en son nom personnel).

Pourquoi les vaccins contre la Covid-19 seraient-ils nocifs ?

Les injections vaccinales répétées d’un même antigène quel qu’il soit (ici la protéine Spike du SARS-CoV-2 produite par nos cellules suite à l’injection d’ARN messager), à des niveaux qui dépassent le seuil « critique », conduisent inévitablement à un dérèglement de l’immunité innée, et à l’apparition de potentiels troubles auto-immuns. Ainsi, pour les vaccins anti-Covid-19 actuels, il existe au moins trois bonnes raisons scientifiques de ne pas procéder à des injections vaccinales multiples.
1-L’action directe et néfaste de la protéine Spike sur l’immunité innée (via le système rénine-angiotensine suractivé),
2-La répétition des injections vaccinales qui dérègle aussi l’immunité innée de l’hôte,

3- La toxicité potentielle directe des nanoparticules lipidiques ou adjuvants utilisés dans ces vaccins.

Comment l’expliquez-vous ?

Le SARS-CoV-2 – via la protéine Spike – provoque des troubles de la coagulation sanguine, dont la thrombocytopénie (baisse du nombre de plaquettes sanguines qui aident le sang à coaguler). Ceci est dû à un phénomène appelé hémophagocytose qui survient lors du syndrome d’activation macrophagique induit par le virus ou la protéine Spike vaccinale. Ce phénomène est aussi responsable de la lymphocytopénie (baisse du nombre de certains leucocytes : lymphocytes T auxiliaires et cytotoxiques, lymphocytes B, et cellules NK tueuses), d’un déficit en globules rouges, et d’une prolifération des granulocytes neutrophiles (cellules de l’immunité innée). Parallèlement, les macrophages hyper-réactifs produisent des cytokines pro-inflammatoires conduisant à un recrutement de plaquettes sanguines à l’origine de thromboses.
Ainsi, le SARS-CoV-2 ou la protéine Spike vaccinale est directement responsable des troubles de la coagulation parfois observés chez certaines personnes lors d’une infection virale au SARS-CoV-2 ou suite à une vaccination.
Mais pas seulement. Le déclenchement d’un syndrome d’activation mastocytaire (les mastocytes sont des cellules de l’immunité innée), accompagné ou non de mastocytose, est aussi possible. D’autres voies de signalisations cellulaires « délétères » sont potentiellement activées. Le récepteur AT1R (du SRA) suractivé est responsable de ces effets délétères: il est pro-hypertenseur, pro-inflammatoire, pro-oxydant, pro-angiogénique, pro-fibrosant, pro-hypertrophiant, et fait chuter le monoxyde d’azote impliqué dans les phénomènes immunitaires, inflammatoires et mnésiques.
On retrouve ainsi (globalement) des troubles dermatologiques (urticaire, démangeaison, apparition d’ecchymoses sans cause apparente), neurologiques (perte de mémoire, migraines, brouillard cérébral, sautes d’humeur, dépression, agressivité), gastro-intestinaux (nausées, vomissements, diarrhées ou constipation), ophtalmologiques (conjonctivite et gêne oculaire, voire perte de vision), urologiques (forte diurèse, difficulté à uriner, envies urinaires nocturnes), respiratoires (toux, asthme, sifflements, œdème de Quincke), auditifs (acouphènes), et/ou cardio-vasculaires (chute de tension, vertiges, étourdissements, tachycardie, syncopes), ainsi que le choc anaphylactique (hypotension artérielle associée ou non à des difficultés respiratoires).

Les vaccins créés il y a 18 mois pour lutter contre la souche de Wuhan seraient-ils devenus obsolètes ?

Avec les injections vaccinales répétées ou l’infection naturelle, la balance anticorps ‘’neutralisants’’ / anticorps ‘’facilitants’’ est devenue de plus en plus défavorable, c’est-à-dire que les anticorps ‘’ facilitants’’ sont devenus majoritaires par rapport aux anticorps ‘’ neutralisants ’’favorisant ainsi l’infection au SARS-CoV-2 (ici principalement le sous-variant BA.2 très contagieux du variant Omicron) suivant un phénomène appelé ADE (« antibody-dependent enhancement » ou « facilitation de l’infection dépendante des anticorps »).
Avec le professeur Jacques Fantini, nous avions alerté sur les risques potentiels de l’ADE, au regard des injections vaccinales multiples dès 2021. Il apparait vital de ne plus faire de rappels vaccinaux avec ces vaccins obsolètes (et parallèlement dangereux pour notre organisme), car on favorise l’infection des personnes vaccinées tout en altérant leurs systèmes immunitaires.

Pourquoi les scientifiques et les médecins n’alertent-ils pas sur les conséquences de la vaccination ?

Je pense qu’il existe un véritable clivage entre les personnes très favorables à la vaccination, et celles, qu’on appelle ‘’complotistes’’, qui estiment que la balance bénéfices/risques de cette vaccination (et des rappels associés) est défavorable. Ceci est entretenu par la doxa ambiante sur la nécessité d’une vaccination obligatoire et à outrance des populations, indépendamment de l’âge et des facteurs de risques des vaccinés. Il y a une volonté incompréhensible au niveau sanitaire de poursuivre une vaccination avec des vaccins qui n’ont pas d’efficacité sur l’infection et la transmission des variants actuels du SARS-CoV-2, et dont la dangerosité à plus ou moins long terme est bien réelle.

La grande presse serait-elle complice ?

Il y a une volonté de censure dans les médias, des études et informations scientifiques pertinentes démontrant les dangers associés à l’utilisation de ces vaccins (protéine Spike, nanoparticules lipidiques, et autres). Il apparait aussi que les traitements potentiels ne sont pas valorisés comme ils devraient l’être (vitamine D, etc.). Selon le Dr Offit (un expert en vaccins de la FDA), nous assistons à une « booster mania » orchestrée par les laboratoires qui se comportent comme des agences de santé publique ». Selon cet expert : « Nous ne faisons pas les choses comme nous le faisons normalement, c’est-à-dire que la science précède la recommandation. Ici, c’est l’inverse ».

Comment expliquez-vous cet aveuglement des scientifiques et des médecins et faut-il s’en inquiéter ?

À mon sens, de nombreux médecins ne se posent pas de questions et se reposent sur les recommandations émises par nos autorités sanitaires, tandis que les autorités sanitaires suivent les directives de l’État qui promeut sans réserve la vaccination (et les rappels) de la population. Ceci met en réel danger nos santés, et il est à craindre que l’on se dirige vers une catastrophe sanitaire dans un futur proche. Le principe de précaution n’est pas appliqué à ce jour, et on avance en direction du mur… Le choc pourrait être violent et il sera malheureusement impossible de revenir en arrière. Les dégâts sur la santé seront irréversibles.

* Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie. Il s’exprime à titre personnel.

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